Interdiction des terrasses chauffantes : valables pour les bancs ? Pour rappel, depuis le 31 mars 2022, les professionnels occupant un espace public extérieur (terrasse de bar et restaurant par exemple) ont l’interdiction d’y installer un système de chauffage ou de climatisation. Pour contourner cette interdiction, certains entrepreneurs ont installé des bancs chauffants. Cette pratique […]
Pour rappel, depuis le 31 mars 2022, les professionnels occupant un espace public extérieur (terrasse de bar et restaurant par exemple) ont l’interdiction d’y installer un système de chauffage ou de climatisation.
Pour contourner cette interdiction, certains entrepreneurs ont installé des bancs chauffants.
Cette pratique est-elle licite ?
« Non ! », répond le Gouvernement : l’utilisation de bancs chauffants sur le domaine public (par exemple en terrasse de bar) n’est absolument pas autorisée !
Les professionnels qui ont recours à cette pratique encourent donc une amende pouvant aller jusqu’à 1 500 €. En cas de récidive, ce montant peut être porté à 3 000 € pour les personnes physiques et jusqu’à 15 000 € pour les personnes morales.
Pour rappel, certains hôtels 5 étoiles présentant des caractéristiques exceptionnelles peuvent obtenir la « distinction Palace », qui permet une meilleure reconnaissance sur le plan international.
Les décisions d’attribution de la « distinction Palace » qui devaient cesser d’être valables entre le 9 juin 2021 et le 31 décembre 2023, le resteront finalement jusqu’au 31 décembre 2023.
Pour mémoire, pour financer leurs investissements en vue de sécuriser leur local commercial et la réserve où ils stockent le tabac, les débitants de tabac peuvent bénéficier d’une aide financière.
Ce dispositif fait l’objet de quelques aménagements, applicables aux demandes reçues à compter du 1er janvier 2023.
Il est précisé que l’aide est accordée pour acheter et faire installer des matériels neufs, par des professionnels du secteur d’activité concerné, pour sécuriser les débits de tabac.
Par ailleurs, la procédure en cas de transmission d’un dossier de demande incomplet est complétée : le demandeur est informé, par lettre recommandée avec accusé de réception (LRAR), qu’il doit transmettre à l’administration les pièces manquantes précisément énumérées dans un délai de 2 mois à compter la notification de la lettre.
À défaut, son dossier est rejeté et aucune nouvelle demande ne peut être présentée, quel que soit le matériel concerné, dans un délai d’un an à compter de la notification à l’intéressé de cette décision de rejet.
Source :
CHR : des précisions réglementaires… à la carte ! © Copyright WebLex – 2023
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